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Eva, une ancienne étudiante de BTS SAM revient sur son expérience de 6 mois en Espagne. Entre missions professionnelles, rencontres et immersion culturelle, elle nous raconte son parcours à Alicante.

1. Pourquoi avoir choisi de faire la FCIL ?
C’est lors de la visite d’une ancienne élève de BTS SAM que j’ai entendu parler pour la première fois de la FCIL Aquitapro. Comme notre stage de 9 semaines en première année de BTS m’a beaucoup plu, j’ai saisi l’opportunité de pouvoir partir 6 mois étudier à l’étranger.

2. Pourquoi as-tu choisi l’Espagne ?
J’ai choisi l’Espagne car je souhaite approfondir l’apprentissage de cette langue, dans le but de concrétiser mon projet de m’y installer plus tard. J’ai opté pour Alicante, car c’est une ville attractive. De plus, Proyecto Español est l’école principale du réseau (franchise) dont dépend celle de Grenade, ce qui offre plus d’opportunités.

3. Quelle structure as-tu intégrée ?
J’ai intégré Proyecto Español Alicante, qui fait partie du groupe Proyecto Idiomas. Ce groupe propose non seulement des cours d’espagnol pour étrangers avec Proyecto Español, mais aussi des cours d’anglais (Studio 3), d’allemand (Instituto Berlín) et de français. Cela m’offre un cadre de stage stimulant et très polyvalent.

4. Quelles sont tes principales missions ?
Mes principales missions consistent à encadrer certaines activités destinées aux élèves de l’école. Je participe également à diverses tâches dans le domaine des ressources humaines, notamment la rédaction de documents contractuels (visite médicale, renonciation, contrat de professeur, accord de confidentialité, etc.), ainsi qu’à la gestion des stocks de l’entreprise.

5. Es-tu bien intégrée au sein de la ville ?
Il est facile de s’intégrer à Alicante, car c’est une ville dynamique avec de nombreux étudiants Erasmus, ce qui permet de faire beaucoup de rencontres. J’ai également tissé des liens dans mon lieu de stage et lors des activités proposées dans la ville.

6. Le stage de 9 semaines en BTS SAM a-t-il facilité cette mobilité ?

Effectivement, ma première mobilité Erasmus de 9 semaines m’a permis de m’adapter à un nouvel environnement international, de gagner en autonomie et de développer des compétences interculturelles. Cela a grandement facilité ma seconde mobilité de 6 mois, car je me suis sentie plus confiante et mieux préparée aux défis à relever.